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RESISTANCE CONGOLAISE

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22 août 2008

RDC: une ONG accuse le gouvernement de museler l'opposition

AFP

20 aoû. 08 - 14h45

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KINSHASA, 20 août 2008 (AFP) - L'ONG congolaise Association africaine de défense des droits de l'Homme (Asadho) accuse le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) d'"utiliser" la justice pour "réduire" l'opposition au silence, dans un communiqué parvenu mercredi à l'AFP.

"L'Asadho est vivement préoccupée par la vague d'arrestations et de détention des membres de l'opposition politique en RDC", souligne le texte.

L'Asadho dénonce la détention depuis fin juillet à Kinshasa de l'opposant Gabriel Mokia, chef du Mouvement des démocrates congolais (MDC), accusé d'"atteinte à la sûreté de l'Etat" et d'"incitation de militaires à commettre des actes contraires à la loi".

M. Mokia, incarcéré à la prison de Kinshasa, avait dénoncé "la mauvaise gouvernance, la corruption et les assassinats érigés en mode de gestion par les membres du gouvernement actuel et les mandataires des entreprises publiques avec la bénédiction des autorités du pays" au cours d'interventions sur des chaînes de télévision.

Le président du MDC, petit parti politique non représenté au Parlement, avait été interpellé à son domicile par une vingtaine de policiers en civil armés, qui avaient escaladé les murs pour s'introduire dans sa résidence.

L'Asadho dénonce également la condamnation à trois ans de prison, le 15 août, de cinq membres de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDSP, un des grands partis d'opposition), par un tribunal de Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï oriental (centre).

Selon l'UDSP, ses membres sont accusés notamment "d'outrage à l'autorité" et "destructions méchantes".

L'Asadho exige "la libération sans condition" de ces opposants.

Elle invite en outre le gouvernement à "respecter ses engagements internationaux relatifs à la promotion de la démocratie ainsi que de la liberté d'opinion".

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17 août 2008

Londres a protesté pour Mokia et les condamnés de Mbuji-Mayi

La ville de Londres a connu une atmosphère d’effervescence le vendredi 15 aout 2008 avec la démonstration des compatriotes résistants de Londres. Cette démonstration fut organisée par le Conseil des Résistants Congolais (CRC) devant la direction générale d’Amnesty International, sise Easton Street, au quartier Farringdon du centre de Londres. Les congolais de Londres ont voulu dénoncé auprès de cette institution internationale des droits de l’homme, l’arrestation arbitraire de Mr Gabriel Mokia ainsi que l’arrestation et la demande de la peine de mort contre les dix militants de l’UDPS Mbuji-Mayi. Il est en effet incompréhensible que Mr Mokia qui est à la tête du parti d’opposition 'Mouvement des Démocrates Congolais' (MDCO) soit aux arrêts pour avoir seulement critiqué « la mauvaise gouvernance, la corruption et les assassinats érigés en mode de gestion par les dirigeants congolais actuels ». Dès lors que de tels attributs relèvent justement à tout parti d’opposition dans n’importe quel pays du monde ; l’arrestation de Mokia enfreint par conséquent la liberté d’expression et le droit d’exercer de l’opposition. Il est tout aussi surprenant d’apprendre que dix compatriotes congolais sont en danger de mort pour avoir protesté contre le gouverneur du Kasai Oriental, Mr Ngoy Kasanji. Que dire alors de l’ancien vice premier ministre britannique John Prescot qui reçut un jet des œufs suivi d’une confrontation physique lors d’une campagne électorale. Personne n’en fut ni arrêté, ni condamné ; cela faisant partie des aléas de la démocratie qu’il faut savoir accepter.

Après deux heures d'intense démonstration, trois cadres du CRC furent reçus par Mr Tawanda Hondora, le vice directeur en charge du programme Afrique ainsi que son collègue Tom Gibson, le chargé des recherches sur le Congo. Nos compatriotes ont lors de cet entretien présenté le mémorandum écrit à cet effet. L’essentiel du document mettait en exergue les techniques dictatoriales d’intimidation adoptées par Joseph Kabila pour faire taire les masses congolaises désillusionnées par le président qui leur a été imposé. L’accent était mis sur le non respect de la loi portant statut de l’opposition, notamment en son article 15 qui stipule « qu’aucun membre de l’opposition politique ne peut être interpellé, poursuivi, détenu ou jugé en raison de ses opinions politiques exprimées dans le respect de la constitution, des lois et règlements de la République ». Les assassinats politiques furent aussi discutés et le cas récent du meurtre du député de l’opposition Daniel Botheti fut évoqué. L’idée de la condamnation à mort des combattants de l’UDPS à Mbuji-Mayi fut reçue avec grand choc par les cadres de l’Amnesty International qui n’en croyaient pas leurs oreilles. Ils se sont dits déterminés à porter ces deux affaires au top de leur agenda sur le Congo et à en faire la campagne la plus intense possible. C’est sur cette note pleine d’optimisme que l’entretien se conclut.

Pendant ce temps cependant, l’ambiance à l’extérieur avait atteint son paroxysme avec la masse congolaise qui ne cessa d’entonner des chants et fournir des explications au public très curieux de savoir qu’il existait encore des méthodes barbaresques de gestion d’un état moderne au 21eme siècle. Fort malheureusement, la république « démocratique » du Congo en est un exemple probant : ironie des termes sans doute.

Débutée à 14heures, la démonstration prit fin à 17heures trente minutes après que la police fit comprendre poliment aux protestataires qu'ils avaient débordé d'une demi heure par rapport à l'heure prévue. C'est sur ce ton de coopération et courtoisie avec la police que la foule se dispersa.

William Lubaki

12 août 2008

LONDRES: DEMO POUR MOKIA

GRANDE MANIFESTATION A LONDRES

PROTESTATION DU PEUPLE A LONDRES CONTRE
L’ARRESTATION DE GABRIEL MOKIA

 

Tous les congolais du Royaume-Uni sont priés d'assister a la grande marche patriotique contre les meurtres et assasinats politiques en RDC.

Contacts:
44(0)7904203068      44(0)7932871660
44(0)7961235893   
E-mail: crc.resistance@yahoo.co.uk

CRC LOGO1
Le Conseil des Résistants Congolais (CRC) organise un piquet à Londres pour dénoncer l’arrestation arbitraire de l’opposant Gabriel Mokia par l’imposteur Hyppolite Kanambe alias Joseph Kabila. Le seul pêché de Mr Mokia est d’avoir critiqué la mauvaise gouvernance, la corruption et les assassinats érigés en mode de gestion par le régime de l’occupant "Joseph Kabila" Kanambe.

Date: Vendredi 15 Aout 2008 Heure : de 14h00 à 17h00 
Lieu : Amnesty International
            1 Easton Street
             Farringdon
            London WC1X 0DW
Référence:    Royal Mail Mount-Pleasant,  croisement Kings Cross Rd   and Rosebery Avenue.

Transport: - Tubes : Farringdon, Angel, Kings Cross, Chancery Lane.
                 - Bus : 19, 38, 63, 341. 

SOYONS NOMBREUX  POUR DIRE NON
AU TERRORISTE
"JOSEPH KABILA" KANAMBE
TROP C’EST TROP… !!!.

Transport : - Tubes : Farringdon, Angel, Kings Cross, Chancery Lane.
        - Bus : 19, 38, 63, 341. 

Contacts : 44 (0)7904203068, 44(0)7932871660, 44(0)7961235893

CONSEIL DES RESISTANTS CONGOLAIS (C.R.C)

PO

BOX 57373

,

London

E1W 2WT

 
E-mail: crc.resistance@yahoo.co.uk

8 août 2008

DECLARATION DU CONSEIL DES RESISTANTS CONGOLAIS A PROPOS DES ASSISES DES CONGOLAIS DE L’ETRANGER.

Le Conseil des Résistants Congolais condamne avec force la tenue du soi-disant ‘’Assises des Congolais de l’Etranger’’ initiées à Kinshasa par le gouvernement fantoche de l’occupation Rwandaise dans notre pays du 30 Juillet au 05 Août 2008.

D’où peut provenir cette générosité du régime actuel  envers les Congolais de l’Etranger dont le droit légitime de vote  avait été arraché de force  au moment  des élections de 2006 obligeant ceux-ci (les Congolais de la Diaspora) à la non implication de loin ou de prêt à toutes les initiatives et actions des institutions installées dans notre pays ?

Nul n’ignore la souffrance qu’endure le peuple Congolais en ce moment ;  Tout cet argent gaspillé inutilement pour l’achat de conscience de certains Congolais afin de légitimer le président étranger  aiderait à la réparation des routes délabrées, à l’achat des médicaments pour les milliers des personnes qui succombent par manque des soins appropriés, au paiement des salaires des fonctionnaires de l’Etat, des policiers et des soldats qui  nouent les deux bouts du mois par miracle à cause de la très mauvaise volonté politique des dirigeants alors que partout ailleurs au monde l’ouvrier mérite son salaire.

Le CRC rappelle tout un chacun que la reconstruction et le développement de notre pays ne peuvent jamais précéder la libération totale du Congo ainsi que l’établissement d’un état de droit et de justice tel que stipulé dans notre Protocole d’accord en son article 2.

Le CRC en appelle à la conscience des Congolais et Congolaises dignes de ce nom de ne pas se laisser distraire et suivre la voie de ces 150 traîtres qui n’ont pas songé un seul instant à l’avenir de notre peuple en allant se lier au diable à cause des miettes leur offertes par l’imposteur, or des millions de dollars destinés aux Congolais traversent jours et nuits nos frontières pour le bonheur des pays voisins et d’autres pays étrangers.

Les participants à ces assises n’ont pas été mandatés par les Congolais de la diaspora, ils ont quitté leurs résidences provisoires de l’étranger pour se retrouver à Kinshasa tout simplement par égocentrisme et manque de patriotisme ; Ils auront à répondre de cet acte de haute trahison.

Ainsi fait à Londres, le 05 Août 2008

Pour le CRC,

Jeansy Kazadi                                     Pasteur Shabani

  Président                                         Secrétaire Général

crc.resistance@yahoo.co.uk

PO BOX 57373

London

E1W 2WT

ENGLAND

12 mars 2008

Sortie du Conseil des Résistants Congolais à Londres

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LE CONSEIL DES RESISTANTS CONGOLAIS (CRC) DE GRANDE-BRETAGNE PORTE SUR LES FONDS BAPTISMAUX

Londres, le 16 février 2008. Autant que l'événement, la date du jour fut, en elle-même, un symbole pour la lutte et le cheminement démocratique du Congo-Kinshasa lorsqu'on se souvient que ce fut le 16 février 1992 que les chrétiens de Kinshasa furent massacrés par les sbires et mercenaires au service de Mobutu, alors qu'ils manifestaient paisiblement en marchant avec des bibles, chapelets, rameaux pour la réouverture de la Conférence Nationale Souveraine, conférence fermée « avec force » , auparavant par le Premier Ministre d'alors Jean Nguz. C'est donc cette même date choisie par le CRC-Grande Bretagne pour sa première sortie officielle. En fait, on se souvient que le Conseil des Résistants Congolais de Grande Bretagne , CRC (Congolese Resistants Council) , avait déjà eu sa reconnaissance de facto par la lettre leur adressée par le Home Office (le Ministère de l'intérieurr britannique), en réponse à la campagne de sensibilisation et aux pétitions contre le concert de l'artiste Kofi Olomidé. On comprend alors l'importance du meeting populaire de la résistance sous le thème « Sens et vision de la résistance » , comme stipulé dans les invitations.

L'événement qui s'est déroulé dans la salle Chustnuts Community Centre (Tottenham, au Nord de Londres) bourrée de plus de 300 personnes et a vu le comité composé de Jeansy Kazadi, le président, le pasteur Dave Indanda, secrétaire général et modérateur du jour, du pasteur Shabani, chargé des questions financières, de Jean-René Yoto, vice-secrétaire général, d'Alain Esale chargé de la culture et de Matone, chargé de stratégie, le comité a, pour le moins que l'on puisse dire, rempli sa tâche du jour. Comme l'a stipulé monsieur Jeansy KAZADI, le politique et le leader congolais ont eu jusque-là plusieurs agendas cachés et d'autres chats à fouetter que de chercher l'intérêt du peuple congolais. Cette façon de faire doit changer. C'est le sens et la vision nouvelle que voudrait incarner le CRC. Le CRC, sans vouloir denier le combat et les méthodologies des autres groupes vient se définie comme étant un groupe de pression , où des individus, des partis, des groupes peuvent s'affilier librement. Ils sont décidés à faire changer cette façon de voir et de faire de la politique, c'est-à-dire de gérer la cité et la chose publique. Emboîtant les pas aux autres mouvements politico-sociaux de la diaspora, le CRC s'oppose au régime actuel en fonction à Kinshasa dont les méthodes de gestion de l'Etat laissent à désirer.

Selon les orateurs, le CRC tire son origine de fait de la question d'un journaliste lors des marches contre la candidature de Joseph Kabila, appelé Hyppolite Kanambe tout au long de la rencontre, taxé d'étranger envoyé pour accomplir le plan d'occupation du Congo. Les congolais s'étaient alors engagés, a rappelé Jeansy, de résister si le candidat Joseph Kabila devenait malgré tout chef de l'Etat. Le CRC n'est que la concrétisation de ce vœu que nombreux ont d'ailleurs déjà oublié. Il ne faudra plus à tout congolais d'aller par quatre chemins. Puisque le pays est ainsi occupé, l'impératif pour un chacun et pour le CRC est de lutter pour sa libération totale. Pour cela, le CRC entend ainsi analyser en profondeur les approches diverses du passé afin d'y déceler les erreurs et d'entrevoir des actions futures qui iront du lobbying aux pressions diverses.

Quant à son actif, le CRC a rappelé à l'assemblée quelques faits majeurs : l'annulation du concert de Koffi Olomide et l'impact d'éveil tiré de cet événement puisque la commission de censure de Kinshasa s'est ainsi réveillé pour interdire des scènes, cris et chansons aux allures obscènes des deux principaux musiciens congolais, les récentes protestations lors de la Conférence de Louis Michel au London School of Economic and Politics Affairs. Mais, a ajouté le président du CRC, prochainement les membres seront invités à agir autrement : au lieu de chahuter et de crier, les congolais gagnerions en engageant plutôt un débat sein, argumenté avec de tels interlocuteurs au lieu de le sortir par la petite porte de l'humiliation. Ce n'est qu'une partie remise. Puis, le CRC se réjouit d'avoir empêché à un autre aventurier de pouvoir proclamer l'indépendance de l'Etat du Kivu en envahissant la salle où devait se dire cette messe obscure. La vigilance est désormais de mise pour ne plus permettre à quiconque qui le veut s'amuser avec le Congo, surtout dans la capitale britannique, en sachant qu'il aura les résistants sur sa route.

Pour concrétiser sa nouvelle vision, le CRC entend aussi se distancier des trois grosses erreurs historiques dont les congolais payent aujourd'hui les prix. Si tous accordons aujourd'hui que la guerre de 1996 fut une guerre d'agression, la première grosse erreur fut la nomination d'un James Kabarebe comme chef d'Etat major de l'armée en RDC. Ce fut la concrétisation de l'occupation du pays par les étrangers. Hélas, tous les actes qui s'en suivirent ne firent que la continuation de cet acte de trahison. La gestion collégiale de la transition avec la formule 1+4 fut la première grosse erreur, une légitimation de la première erreur. La seconde erreur fut d'avoir accepté d'aller aux élections avec Joseph Kabila comme candidat. Ce fut l'acceptation du fait d'avoir un étranger dans le système. La troisième grosse erreur est celle des congolais qui se disent qu'il faudra lui laisser « ses » cinq ans et attendre. C'est maintenant ou jamais qu'il faudra s'opposer au système actuel et résister.

Le CRC a aussi la vision de contribuer à la libération du pays de son occupation économique, c'est-à-dire en prenant une part active au débat économique du pays. Car, le congolais n'est pas souvent averti sur la gestion économique de son pays, la signature des contrats d'exploitation par exemple doivent faire l'objet des débats et information à la population. A partir de la Grande-Bretagne, le CRC cherchera ainsi à voir clair, à s'informer et à informer le peuple souverain sur les rouages économico-financières où le pays est souvent placé. Mais, pour le faire, le CRC entend aussi s'attellera à informer et à bien informer le peuple, en usant de l'expertise de tout congolais professionnel des médias pour aider à ne pas tomber ni dans la désinformation, ni dans la sous-information. Le CRC s'engage ainsi à ne jamais diffusé toute information non-signée et non vérifiée et s'attèlera à mettre en place, dans un avenir proche, un organe de presse pour informer correctement les congolais.

Mais, pour atteindre de tels objectifs nobles, le CRC entend de tous ses membres anciens et futurs, un vrai engagement qui doit se traduire par le soutient financier à apporter au CRC. Pour arriver à mobiliser ainsi des ressources, le comité s'engage ainsi à bien gérer les ressources à sa disposition, dans la clarté et la transparence. D'ailleurs, le comité qui se donne deux ans pour mettre en place des structures devant rester, entend bien rendre compte, constamment, de son travail à la communauté qui lui donne ainsi mandat et confiance.

Puisque le CRC sait ne pas être seul dans cette lutte, il entendra respecter les uns et les autres dans leur vision, tout en espérant que les autres éviteront les distractions à freiner ses objectifs. Pour cela d'ailleurs, officiellement, le comité avait ainsi décidé, après la période probatoire d'organisation et constitution, que le mouvement n'était pas une alliance des combattants , mais simplement des résistants, excluant ainsi « le combat » de ses statuts. Il faudra, ont-ils dit, éviter de tomber dans le piège des rebellions et de l'usage de la force comme moyen de pression. Certes, les frustrations peuvent engendrées des mouvements de colère et de protestations, mais il faudra aujourd'hui développer le lobbying, nous a affirmé le président Jeansy Kazadi .

On a pu noter la question d'un opposant sierra léonais qui, tout en affirmant ne pas soutenir l'actuel régime actuel de Kinshasa parce que satisfaisant plus les intérêts des étrangers et ceux des congolais, a posé la question de savoir les garanties que donnaient les résistants que si demain ils venaient à remplacer le pouvoir actuel, ils allaient vraiment travailler pour le bien du peuple congolais et africain. Le comité, a répondu le CRC, est soumis à une évaluation continuelle et les résistants et les membres seront appelés à se prononcer sur les actions futurs.

Une chose est vraie, la réunion qui a commencé par une minute de silence s'est terminé par une adhésion massive des nouveaux membres qui ont pris d'assaut la réception pour signer leurs fiches d'adhésion et on a pu aussi avoir des interventions des délégations issues des provinces, où le comité entend se déplacer prochainement pour son travail de sensibilisation et de mobilisation, et des comités venus d'une façon circonstancielle des autres diasporas voulant s'informer de la nouvelle donne née à Londres. La réussite de ce meeting qualifié de populaire fut sans équivoque et a pu même bénéficier de la présence de Madame Liz du Congo Support Group qui est revenu sur les efforts pour freiner la déportation des congolais. La communauté est invitée à une extrême vigilance.

Une chose est vraie, la nature ayant horreur du vide et devant le vide crée depuis la dernière réunion avortée de la communautaire de la CCUK, la communauté congolaise de Grande-Bretagne, le 30 juin 2007, le Conseil des Résistants Congolais apparaît aujourd'hui venir jouer au leadership de sauvetage et devient porte-étendard de la contestation et de l'opposition politique en Grande-Bretagne, qu'on le reconnaisse ou non. Surtout que depuis les élections, les partis politiques et leurs présidents et comités se font chercher sur les bout des doigts. Si l'UDPS tente de renaître avec son congrès de Kinshasa et que l'APARECO ne vit que par les Emails et affiches de son président Honoré Ngbanda sur Internet, avec quelque fois le passage d'un membre du comité pour haranguer les membres, tous les autres partis semblent vider de leur contenu et se sont essoufflés : on perdrait sa tête à voir un membre du PPRD sur les rues de Londres, ils emble que nombreux se seraient refugiés volontairement à Kinshasa pour participer à la gestion du pouvoir, entendez profiter de leur part du gâteau  ; le MLC semble être entré dans la clandestinité ou se meut en exil comme son président, pour ne citer que ces deux cas. D'ailleurs, conscient de ce fait sociologique que représente aujourd'hui le CRC, surtout après cette reconnaissance de fait par le Home Office, les faucons ont commencé à s'agiter comme d'habitude en créant des mouvements parallèles, confirmant le vagabondage qui semble être devenu notre seconde nature politique.

Cependant, il ne faudra pas se voiler les yeux pour dire que le CRC aura du pain sur la planche et se demander s'il pourra apporter un souffle nouveau dans l'approche politique congolaise de la diaspora, se distancer réellement de l'idéologie du combat puisqu'il est politiquement de la nature de la force musculaire d'obéir à la raison . Devant la ribambelle d'opposants et des leaders que comptent le Congo, le CRC qui entend ne pas les déranger dans leur quiétude et leurs idéologies, pourra-t-il bien matérialiser ses objectifs sans perdre son temps en cherchant un modus vivendi avec les autres leaders dont nombreux sont dans la diaspora. On sait que la politique au Congo se joue aussi dans ses rapports avec les autres partenaires bilatéraux et multinationaux. Le CRC cherchera-t-il et réussira-t-il à engager un dialogue politique avec ces institutions ou avec les autorités britanniques, qu'on sait soutenir financièrement le processus actuel ayant débouché sur les élections, même si on croit savoir qu'elles auront certes des critiques sur la gestion actuelle du régime de Kinshasa, notamment sur l'épineux problème des fameux contrats et la gestion des eaux et forêts congolaises. Après sa reconnaissance de facto par les autorités britanniques, le CRC profitera-t-il de cette position stratégique de fait qu'il se trouve à Londres, ville historique par où passe tous les mouvements de résistances et d'opposition, pour capitaliser cette dose confiance par une approche diplomatique avec les autorités, en devenant ainsi la voix des congolais, surtout pour les matières sensibles que sont les atteintes aux droits humains des congolais. Surtout lorsqu'on sait que tout changement n'a pas nécessairement besoin d'actions musculaires ou chaotiques pour arriver à bon port. Les pétitions contre les concerts de Kofi pourraient servir d'exemple éloquent.

Le chemin est encore long, mais déjà le parcours entamé est élogieux et prometteur à la condition que tout congolais puisse apporter sa pierre de contribution dans cette édifice de la construction de la nation congolaise dont le pan du voile de la diaspora est aujourd'hui sous la bannière du Conseil des Résistants Congolais de Londres. Une chose est vraie, le pouvoir de Kinshasa devra compter avoir désormais les résistants de Londres sur son dos pour lui rappeler à l'ordre et pour que les messieurs au pouvoir ne croient pas se pavoiser à volonté surtout que pour le CRC le pouvoir actuel est une usurpation pure et simple. Mais, comme on sait comment finissent les révolutions et les combats, le CRC évitera-t-il soit de se faire bouffer par ses propres fils, soit de bouffer lui-même ses héros ? Retiendra-t-il les leçons de l'échec de la gestion politique de l'AFDL qui a montrer qu'autre chose est de remporter une guerre, autre chose est de savoir et pouvoir bien gérer la victoire.

En tout cas, ce ne sont pas les dissensions au sein du combat qui sont de nature à calmer les nerfs des uns et des autres. Alors qu'on se réunissait à Tottenham, une seconde aile, se réclamant de l'aile dure, se réunissait aussi et, le soir même, distribuait son Newsletter « Etumba » pour monter qu'elle était la vraie aile originale des combattants. Un seul mot est sur tous les lèvres « les collabos» , c'est-à-dire les mouchards au service du pouvoir de Kinshasa. Puis, d'autres vieux politiciens se réclamant aussi de la nouvelle résistance distribuaient aussi leurs invitations via le net pour une autre convocation de la même communauté. Incroyable… Ce qui a fait dire à plus d'un observateur qu'on était là encore dans les syndromes de la Zaikomanie et de la Wengemanie , c'est-à-dire la dislocation légendaire de nos groupes et de nos partis politiques dont le Congo-Kinshasa garde seul le secret sacré. Tout aussi incroyable que les uns et les autres ne comprennent jamais que cette façon d'aller en ordre dispersé est une vraie manie et affaiblie la cause noble qu'on entend défendre et lutter, car l'ennemi lui ne semble pas aller par quatre chemins. Les jours à venir nous en diront assez dans ce bras de fer qui ne dit pas son nom, même si le Conseil des Résistants Congolais semble avoir pris de l'avance sur tous les autres groupuscules qui risquent de ne pas avoir le quitus de la population. Avec le CRC qui se distancie et se définie ainsi clairement comme un mouvement politique, le champ laisse libre dans la vieille confrontation laissera surement champ libre a la commission dite Herman Nzeza, pour relancer le CCUK, cette église au milieu du village, pour s'occuper des autres problèmes sociaux de la diaspora congolaise de Grande-Bretagne. D'où viendra enfin le salut pour sauver le Congo de cet imbroglio ou elle tente chaque fois de s'enfoncer lorsqu'il apparaît une petite lueur d'approche nouvelle et autre ?... Le mal congolais est-il cette jalousie qui pousse le congolais à ne jamais accepter l'autre congolais, surtout lorsque celui-ci tente mieux, autre ou plus que lui ?... Le mal congolais est-il cette difficulté à ne jamais accepter le leadership et l'expertise de l'autre, tout simplement parce qu'ile st congolais ?... Autant de questions à disserter pour l'avenir.

Norbert X MBU-MPUTU
Congo Vision UK
18 février 2008

Publié le 10 mars 2008

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25 février 2008

Face aux entourloupettes du CNDP-Nkunda et des Maï-Maï. Acte d’engagement de Goma : déjà un chiffon

Face aux entourloupettes du CNDP-Nkunda et des Maï-Maï. Acte d’engagement de Goma : déjà un chiffon
(Le Potentiel 25/02/2008) 


Plus de vingt violations du cessez-le-feu depuis la fin de la Conférence de Goma sur la paix, sécurité et développement des provinces du Nord et du Sud-Kivu ; suspension de la participation du CNDP-Nkunda aux travaux de la Commission de suivi ; retrait du processus de Goma de la composante Maï-Maï. Que reste-t-il encore de l’Acte d’engagement signé à Goma le 23 janvier par toutes les parties ayant pris part à cette conférence ? Plus grand-chose, si ce n’est plus qu’un chiffon bon pour la poubelle et qui sonne sûrement déjà la reprise des hostilités.

Vendredi 22 févier, Le Comité national pour la défense du peuple (CNDP) de Laurent Nkunda annonçait le retrait de sa délégation de toutes les rencontres initiées dans le cadre de la mise en œuvre de l’Acte d’engagement signé par tous les groupes armés le 23 janvier 2008 à Goma. Acte qui sanctionne les travaux de la Conférence sur la paix, la sécurité et le développement des provinces du Nord et du Sud-Kivu. Le mouvement rebelle dirigé par Laurent Nkunda s’insurge ainsi contre les allégations, selon lui, faisant état de 30 civils massacrés par les combattants du CNDP entre le 16 et 18 janvier 2008 à Kalonge, dans le territoire de Masisi. Allégations ou accusations portées par le porte-parole de la Monuc.

Aussi, Nkunda exige-t-il qu’une enquête mixte, constituée de la Monuc, du gouvernement congolais et du CNDP soit mise sur pied pour vérifier les faits. Car, dans sa déclaration à la presse, Laurent Nkunda estime que le porte-parole de la Monuc est « allé plus loin », en précisant que des victimes étaient des « Hutu ». Déclaration «grave dans une région très sensible », souligne Nkunda, allant jusqu’à envisager le remplacement de l’actuel porte-parole de la Monuc qui ne « serait pas neutre ».sic

Samedi 23 janvier, c’était le tour des groupes Maï-Maï de se retirer du processus de Goma. Ils justifient leur décision par le non respect du calendrier et du chronogramme des activités de suivi de la Conférence sur la paix, la sécurité et le développement du Kivu.

Ces décisions sont graves de conséquences. Elles portent un coup dur au processus de cessez-le-feu et violent l’Acte d’engagement de Goma tant dans son esprit que dans sa lettre. Car, les groupes Maï-Maï et le CNDP-Nkunda sont deux composantes importantes, signataires de cet acte. Dès lors qu’elles ont décidé de se retirer du processus, il ne reste plus que les FARDC, le gouvernement. Comment alors appliquer ou faire respecter l’acte et les résolutions ou recommandations face à des partenaires qui se disent ne plus être concernées ? Impossible. L’Acte d’engagement vient de voler en éclats. Tout est désormais possible. La reprise des combats au regard des violations répétées du cessez-le-feu n’étonnerait pas.

Sans surprise

Ces derniers revirements ne surprennent pas. Le Potentiel figure parmi ceux-là qui s’inquiétaient de l’après-Goma qui s’annonçait plus difficile que l’avant-Goma. Tout simplement parce qu’au-delà des divergences inter-ethniques, il existe bel et bien des enjeux beaucoup plus importants. Nkunda vient de l’effleurer en parlant « d’une région sensible » lorsque le porte-parole de la Monuc précise que les victimes sont des « Hutu ». Comme s’il venait de lui prêter le flanc, NKunda n’attendait que ce prétexte pour rebondir. En plus de ce fait que cette décision intervient après les incidents de Kamina, poussant le CNDP à crier à la «discrimination » vis-à-vis du gouvernement.

La Conférence de Goma n’est donc pas allée au fond du problème. La guerre du Nord-Kivu a d’autres motivations, d’autres enjeux. Ainsi, ces réactions ne sont là que des entourloupettes pour ramener ces conflits armés aux mêmes dimensions que celles qui ont créé le Kosovo. Ce serait peut-être le vrai agenda caché qui explique justement les enjeux régionaux de l’instabilité au Kivu.

Quant au retrait des Maï-Maï, il ne peut s’agir que des conséquences économiques. Le fait de justifier le retrait par le non respect du calendrier et du chronogramme des activités de suivi de la Conférence de Goma n’est qu’un prétexte. Car, les groupes Maï-Maï font partie de ce mécanisme de suivi. Pourquoi ne pas exercer une pression réelle sur ceux qui retardent les choses plutôt que de les accélérer ? Mais quelles sont ces parties qui trouvent leurs comptes dans ce retard ? Seules la survie, les raisons économiques justifient ce genre de comportements. Tous ces groupes armés ont maintenant peur du lendemain, de perdre « leurs territoires » transformés en eldorado et en far west. Le CNDP-Nkunda ayant fourni le prétexte pour retarder le désarmement, chaque groupe use désormais des subterfuges pour faire de l’Acte d’engagement de Goma un vrai chiffon.

Sortir du tunnel

Ces suspensions ou retraits cachent bien des agendas cachés. Par conséquent, ils appellent à des réactions conséquentes pour sauver la paix en faisant appliquer les résolutions de Goma. Le fait que l’on s’en prenne facilement à la Monuc prouve à suffisance que l’on connaît bien ses limites et celles de la Conférence de Goma. Certes, la Monuc précise bel et bien que l’enquête a été menée de façon professionnelle, sans a priori ni parti pris. Mais quels sont les moyens dont la Monuc dispose pour faire entendre « ses arguments » et dissuader le CNDP à ne pas la narguer en soulevant un « problème passionnel » ? Tant que le mandat de la Monuc ne sera pas requalifié, elle rencontrera des résistances capables d’entamer sa crédibilité, de la tourner en dérision. C’est donc la Communauté internationale, c’est-à-dire Onu, Union européenne, Union africaine, témoins de la signature de cet acte qui sont interpellés, en plus des Etats-Unis.

Mais au plan interne, il est question de s’approprier cette situation et d’en faire réellement une affaire nationale. D’abord, il faut s’empresser de casser cette spirale des « conférences » qui ne profitent qu’à quelques « opportunistes » et « vautours » de mauvais augure.

Il revient au Parlement, Assemblée nationale et Sénat réunis en Congrès, d’endosser les actes de la Conférence de Goma. Question de ne plus laisser à quelques hauts responsables du gouvernement de donner l’impression de mener seul le « grand boulot ».

Certes, réagissant au retrait des Maï-Maï et du CNDP, le ministre d’Etat Denis Kalume, en charge de l’Intérieur déclare que « les actes d’engagement furent signés en fonction de bonne foi des parties. Le gouvernement a pris deux engagements, et ceci sur recommandation de la conférence et à la demande du CNDP. La première recommandation, c’est sur la signature d’une ordonnance créant une structure baptisée Commission mixte pour la paix et la sécurité. Il y a une ordonnance qui a été signée par le président de la République. Cette ordonnance devrait être suivie par une ordonnance de désignation des animateurs de la structure. Tous les groupes ont donné les noms et il n’ y a que le CNDP qui n’a pas encore communiquer les noms de ses délégués. Donc, pour nous, nous avons honoré nos engagements. Nous avons l’obligation d’aller jusqu’au bout. L’objectif, c’est la paix. Et celui qui veut prendre la responsabilité d’étouffer cet esprit dans l’œuf, n’a qu’à prendre cette responsabilité. Mais le gouvernement est décidé à aller de l’avant. Ce processus de paix, nous sommes déterminés à le faire aboutir. Quel que soit le cas, nous devons arriver à la paix même s’il faut l’imposer ».

Belle démonstration de l’élan de détermination de la part du gouvernement. Mais la réussite passe justement par l’implication de toutes les institutions nationales, le recours à des partenaires tout aussi déterminés que le gouvernement à combler les insuffisances d’une armée en pleine restructuration. Au-delà, réactiver une diplomatie tous azimuts pour impliquer les pays voisins, tel que le Rwanda qui n’est nullement étranger à ce qui se passe en RDC au regard de ce prétexte sempiternel sur la présence des Interahamwe, des FDLR. Or, ces derniers se disent non concernés par les Actes de Goma, mais disposent d’une puissance de feu qui fait réfléchir toutes les parties dans le programme DDR.

Au demeurant, l’équation risque de se compliquer davantage dans les prochains jours si Kinshasa ne s’engage pas totalement au plan national et n’implique pas tous les témoins à la signature de l’Acte d’engagement de Goma qui est en train de voler en éclats. Il sera alors difficile de sortir du tunnel.




Par Le Potentiel

© Copyright Le Potentiel

25 janvier 2008

ECRIVAIN FREDERIC YAMUSANGIE: POEME AUX RESISTANTS ET AU CONGO

LE POETE ET ECRIVAIN FREDERIC YAMUSANGIE DEDIE UN POEME AUX RESISTANTS DE LONDRES. "LES OEUVRES DE L'ESPRIT SE TROMPENT RAREMENT", DIT-ON. CE GRAND HOMME DE LETTRE A COMPRIS LE SENS DU COMBAT DE LIBERATION QUE MENENT SES COMPATRIOTES DE LA RESISTANCE.

The Uncompromising Résistants

A poem by Frederick Yamusangie

The Land has been occupied

The

Mighty

River

is full of dead bodies

The teachers can no longer teach

The civil servants have bean reduced to the level of beggars

The national army and police have become the enemies of the people

Real misery has spilled out in the entire country

Incompetence is flirting with the elites

And in all four corners of the Land

Children have lost their innocence,

Criminals are being rewarded with state honors,

While men and women of conscience are being

Prevented from giving an helping hand

In this state of affairs, something has to be done

Yes! Something is being done

Something has been made operational

Eight thousand miles away from home,

In

London

,

Some young men and women have raised the Flag of Hope

They are determined and they mean business…

They are the Uncompromising Résistants

What did you say?

Les Résistants!!!

I am sure this the last word

The Enemy of

Congo

The Master Plunder of our Wealth

The Butcher of Congolese

Would like to hear

The arrival of these young men and women

Has changed the entire Equation

And these Résistants are here to stay

Although Anarchy is still persisting in

Eastern Congo

,

The Résistants have brought Hope into our oppressed people

It is now too late for the Enemy of our people

To try to break up those Résistants ….

They are the Unbreakable Freedom Fighters

They are the many faces of just one thing:

The Total Liberation of our beloved

Congo

.

One might choose call them Résistants,

Combatants, etc….

But I know and will always called them

The Liberators of the Great

Congo

,

The Architects of Congolese Renaissance,

The Promoters of Congolese Dignity.

Here in

London

This is not something new

Our Résistants are just in the footsteps of Great Men

As Joseph Conrad,

Edmond

Dene Morel, Sir Roger Casement,

And all the members of Congo Reform Association;

And even the members of the Forces de la France Libre.

Yes!

London

has always been a hot ground for

Those with the blood of Congolese in their hands

In this case, what else can I say?

For those Butchers of Congolese who are still skeptical,

I am sending you a special invitation

Our Peaceful and Uncompromising Résistants are ready

To welcome you in their

Special Way
!!!

Oh! My

Congo

!

(Part I)

By Frederick Yamusangie

Oh! My

Congo

!

You are and will always be my

Congo

Wherever I go

Wherever I settle

Wherever I live

I will raise your profile very high…

So high enough for every one to see

I will shout your name very loud…

So loud enough for everyone to hear

I will make our connection very clear…

So clear enough for everyone to notice

Oh! My

Congo

!

You do not know how happy I was when

I found out that your children can never forget about you

I was even more delighted to learn that your children are

Preparing your Renaissance

Do not ask me how they will achieve it

Do not worry My Congo

Your children are very

Creative and Patriotic

They have already come up with an idea

Which they call Operation Pesa Maboko,

Oh! My

Congo

!

This is just an open invitation for all of us

To give an helping hand in building your future

They have decided to make you a giant of twenty first century

Anyway you are the real and natural giant

All of us your children…

Are proud to be called Congolese

All of us your children…

Feel privilege to be called your beloved

All of us your children…

Will never let you down, Regardless

Oh! My

Congo

!

Do not worry anymore

This is going to be your century

So sit back and relax

Through Poetry, Prose,

Pictorial Narratives and moving pictures

Your children will Build,

Promote and Defend your Rebirth

Just sit back and relax…You are in good hands

Oh! My dear

Congo

you could not imagine

How happy I am to be called your beloved Child….

Oh! My

Congo

!

Oh! My

Congo

!

Oh! My

Congo

!

21 janvier 2008

HUMILIATION DE LOUIS MICHEL A LONDRES SUR YOU TUBE

HUMILIATION DE LOUIS MICHEL A LONDRES

LONDRES LE 17/01/08, LA CONFERENCE DE LOUIS MICHEL A LONDON SCHOOL OF ECONOMICS (LSE) S'EST SOLDEE EN ECHEC TOTAL. LES RESISTANTS DE LONDRES ONT HUMILIE LE COMMISSAIRE EUROPEEN SI BIEN QUE LA CONFERENCE FUT SIMPLEMENT ARRETEE, SANS CONCLUSION. LE DERNIER MOMENT DE LA CONFERENCE EST POSTE SUR LE LIEN DE YOU TUBE CI-DESSOUS:

http://uk.youtube.com/watch?v=-Hx7a_lVZzU

RESISTANCE CONGOLAISE

18 janvier 2008

Louis Michel souffle du chaud et du froid a Londres 17/01/08

Chers Compatriotes

Sournois, cachotier, hypocrite, une frange de la
communaute kongolaise acceuillit Mr louis Michel, le
commissaire europeen au developpement et a l'aide
humanitaire en visite a Londres, Grande-Bretagne.
Ce public qui s'est choisi a la carte a opte autant
pour l'exclusion de leurs freres de la resistance
Puisque la police en charge de la securite, via
l'inspecteur detache demanda que tout le monde
puisse prendre place...sa requete se heurta a un
refus sans appel d'un sujet demasque rwandaise,
Sandrine Vasselin,camouflee, comme elles savent
le faire mieux que quiconque.
Tout s'opere sous la structure congolaise,
" Congo Network ". Bien que Arrogante, hautaine
et pretentieuse, la resistance put
infiltrer le lieu. Comment ont-ils pu etre au
courant ( ses resistants), s'interpellerent nos
chers compatriotes,ceux la memes que la communaute ne
les a vu jamais. De maniere fascinante, prennent
cause de cette communaute... quel l'opportunisme !

Que pour le decor qui abriterait la conference.
Le lieu choisit, le parlement britannique ou
devait se tenir la premiere partie prevue entre
13h00 a 17h00.

Et la derniere partie devait se poursuivre a la non
moins celebre London School of Economics, temple du
savoir par excellence des sciences economiques de
reputation mondiale...la toute premiere institution
reputee pour sa qualite des cours dans ce
domaine, insisterait-on !
Louis Michel, n'a pas deroge a la regle, plus que
paternaliste, conquerant, expansioniste et
hegemoniste.
Il a respecte la tradition de la politique
imperialiste, une these qui consiste a rappeller les
liens qui pretendument unissent les peuples d'afrique
et d'europe...il a passe en revu notre passe colonial,
les liens economiques, culturels et les questions qui
touchent tant a la securite alimentaire, de justice,
bonne gouvernance que de deficit democratique etc.
Evidemment, il aurait ete incomplet s'il n'avait
aborde le sujet qui est au centre de toute
polemique...la presence chinoise en Afrique.
Il a insiste sur la loyaute et le maintien des
relations europe-afrique, il a ouvert une parenthese
sur la conference de Afrique-Europe de
Lisbone...recemment tenue dans la capitale portugaise.
Il a articule sur le bien fonde de cette conference.
Apres qu'il eut depeint ce tableau, venu le moment des
questions.


Louis Michel, fut interpelle sur la gestion de la
crise congolaise, le dossier de l'Est du Kongo, le
sujet Nkundabatuare, les exactions commises sur les
femmes dans cette partie du territoire, son
implications personnelles sur l'exploitation illegale
de nos minerais...accule, off record, balbutiant,
imprecis, inarticulant, moins a l'aise, le
representant est reste evasif, peu convaincant,
trebuchant sur un anglais fait de l'a peu pres, il
alla de maladresse en maladresse.
Il parla de l'avenement democratique de Kanambe au
sommet de l'etat, il affirma que les elections se sont
deroulees dans des bonnes conditions.
Et aussi le Kongo commencait a se relever.
Autant il refusait tout bonnement de repondre aux
questions...autant il faisait semble de ne pas
comprendre le sens des questions.
Evidemment, cela n'etait pas du gout des resistants a
qui on avait refuse d'assister a la premiere partie de
conference qui s'etait tenue au parlement..cette
fois-ci ils prirent leur revanche.
Franchement, Louis Michel, souffla le chaud et le
froid. Ceux-ci se leverent, il y eut du grabuge dans
l'air.
Les resistants brandirent des pancartes...des mots de
toutes natures fuserent, efface, voix eteinte,
appeure, l'orateur ne savait sur quel ton reprendre la
parole.
La situation echapp au controle des organisateurs.
A 19 heures,ceux-ci deciderent d'y mettre fin a la
conference.
Cette decision n'arrangea pas les choses, les
etudiants et les invites curieux se mirent a poser des
questions aux kongolais pour davantage de
comprehension et tres vite se solidarisent a la cause
kongolaise. Beaucoup etaient restes pantois,
abasourdis et avouerent n'avoir jamais su du genocide
kongolais...et apprenerent les manigances de Louis
Michel et de son clan.
Son frere cite en premiere ligne dans le trafic en
tous genres. Et aux etudiants de toutes facultes et
toutes promotions de nous apporter leurs aides et
collaborations futures pour mettre a mal le plan
destabilisateur et destructif du kongo. En echangeant
des idees, beaucoup pronerent l'harmonie des peuples
et l'entente cordiale...et ne comprenaient pas que la
Communaute Internationale,l'Union Europeene et aussi
louis Michel aient de l'autorite sur des pays
souverains.
Visiblement, Louis Michel eut son bapteme de
feu...decidement, la resistance de Grande Bretagne ne
flechit pas.
D'ailleurs, lui a fait savoir qu'il faille mieux
se payer la tete des kongolais residants en
Belgique et France...si c'etait son plaisir.
Ceux d'ici l'ecraseront. C'est l'esprit britannique
qui hante les esprits avec ses charecterisques,
on flegme et sa froideur...qui cacheraient une
mechancete pas toujours detectable.
En definitive, les kongolais de Grande-Bretagne, ont
fait ecole, le rouleau compresseur est marche, il est
inarretable.
Pour autant,ses forces se decuplent et son moral
s'amplifie et au beau fixe.

N.B. nous publierons la liste des participants
tres prochainement.


ALAIN ESALE.

commentaires: www.resistancecongo.afrikblog.com

15 janvier 2008

une ONG dénonce la "brutalité" de la police contre un journaliste

RDC: une ONG dénonce la "brutalité" de la police contre un journaliste

AFP

15 jan. 08 - 11h42

KINSHASA, (AFP) - Une organisation locale de défense de la presse a dénoncé mardi la "brutalité" de policiers, accusés d'avoir frappé un journaliste qui effectuait un reportage à Likasi, dans le sud-est de la République démocratique du Congo (RDC).

L'Observatoire de la Liberté de la Presse en Afrique (OLPA) "condamne énergiquement le mauvais traitement infligé à Jacob Shimbi, reporter à la Radio-télévision Likasi 4 (RTL4), émettant à Likasi, dans la province du Katanga", dans un communiqué transmis à l'AFP.

Le journaliste a été interpellé dimanche 13 janvier alors qu'il filmait une opération de démolition de kiosques installés illégalement, selon la municipalité, le long de grandes artères de la ville, rapporte l'OLPA. M. Shimbi, qui n'avait pas sur lui de documents attestant de sa qualité de journaliste, a été appréhendé par des policiers après avoir refusé de leur remettre sa caméra et a été battu, selon l'ONG.

"Il s'en est sorti avec des lésions importantes au niveau du dos", déplore l'OLPA, qui dénonce une "atteinte grave à la liberté de la presse" pourtant "garantie par la Constitution" congolaise, et exige "l'ouverture d'une enquête pour élucider les circonstances de cette brutalité policière".

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